Le collectif des mouvements citoyens et groupes de pression du Nord -Kivu rappelle que cela fait une année depuis que les victimes du Génocide Congolais se sont ajoutées à travers l’action anti Monusco. Lors de manifestations l’an passé, plus d’une quinzaine de congolais ont perdu la vie. Abattus par la Monusco à Goma Beni et Butembo. Certains restent en détention une année après et les auteurs n’ont jamais répondus de leurs actes devant la justice. Aucune réparation prévue jusque-là pour les victimes de ces actes perpétrés pendant cette période regrette les mouvements citoyens et groupe de pression.
Au-delà de l’action anti Monusco, les mouvements citoyens et groupe de pression ajoutent la journée du 2 Août 2023 consacrée à la commémoration du Génocide et de Coût en RDC(GENOCOST) pour expliquer le viol systématique de femme et d’enfants congolais, le massacre continu de civils et d’autres atrocités commises contre les populations dans l’Est de la République Démocratique du Congo pour l’exploitation des ressources naturelles. Ce qui constituent un crime de génocide que la communauté internationale ignore encore.
Ces indignations contenues dans une déclaration rendu public ce mardi 25 juillet 2023 en ville de Goma.
« Dans le cadre de rendre mémoire à nos citoyens tués en date du 25 et 26 Juillet à Goma, Beni et Butembo, le collectif des mouvements citoyens et groupes de pression du Nord-Kivu demande au Gouvernement Congolais de traquer tous les auteurs et envisagé une réparation digne des familles des victimes de tuerie perpétré dans l’action anti Monusco en date du 25 et 26 Juillet 2022 » demande les mouvements citoyens.

Le Collectif des mouvements citoyens et groupes de pression du Nord-Kivu dit prévoir plusieurs activités en mémoire des victimes.
« D’autant plus que les actes des atrocités ont été commis à l’Est, et cela dans le but de demander la communauté internationale de reconnaitre le Génocide de la RDC comme tant d’autres commis dans le monde entier, demandons justice pour le massacre de MAKOBOLA, KASIKA, KIKYO. KISHISHE, BAMBO, BENI, KISHARO, KWAMOUTH et KAMWANASAPU » Plaide ces citoyens congolais.
« Demandons l’installation d’un Tribunal Pénal spécial pour tous les crimes commis dans l’Est de la RDC pour que les auteurs soient punis et les victimes trouvent une réparation » Conclu le collectif de mouvement citoyen.
Le 25 juillet alors que la population réclamait le départ de la Monusco, un nombre important de jeunes ont été criblé de balle par les forces onusiennes.
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